La croyance selon laquelle les événements extrêmes seraient plus nombreux en raison du changement climatique n’est pas réelle : ces événements extrêmes sont surtout mieux répertoriés et plus médiatisés de nos jours grâce aux médias et aux réseaux sociaux. En France, le nombre de tempêtes et d’événements extrêmes était plus important au 19ème siècle : une tornade s’est même produite en plein Paris en 1896. La décennie 1990 – 2000 a été la plus mouvementée avec des successions de tempêtes inégalée depuis cette période. Ce constat est aussi valable pour les ouragans dans l’Atlantique nord, dont le nombre maximum a été relevé en 1933 et 1995.
